Chers Amis,

Durant la trève des confiseurs, votre site préféré a migré vers une nouvelle plate-forme, Via Bloga.
Tout est maintenant (plus ou moins) en ordre. Il subsiste encore quelques difficultés avec les mots clés.

Dans peu de temps, un mécanisme de redirection vous renverra automatiquement sur www.tropdebruit.be.

Pour les impatients, ils peuvent déjà cliquer ici pour consulter le nouveau site de TBBW.

Nous espérons que le résultat vous plaîra.

Bonnes fêtes à tous.

L'équipe de Trop de Bruit

Des nouvelles du service de médiation... (cliquez sur les liens)

Bruxelles, le samedi 23 décembre 2006 sur l'utilisation des02/07

Bruxelles, le dimanche 24 décembre 2006 sur l'utilisation des 02/07

Chers Amis,

Durant la trève des confiseurs, dont le Ministre Landuyt profite déjà honteusement,
votre site préféré devrait migrer vers une nouvelle plate-forme, Via Bloga.
Il nous faudra bien ce temps pour tout mettre au point... Soyez donc patient...
Nous espérons que le résultat vous plaîra.

Pour les impatients, cliquez ici

Bonnes fêtes à tous.

L'équipe de Trop de Bruit

La Commission européenne a souligné aujourd'hui son engagement ferme dans la lutte contre le changement climatique en proposant une législation visant à incorporer les émissions de gaz à effet de serre produites par l'aviation civile dans le système communautaire d'échange de droits d'émissions.

Après plus de mille jours de plan de protection du fief électoral que constitue le Noordrand, nous trouvons que c'est le bon moment de faire le point… de savoir où nous en sommes.
En mille jours, quel est donc le chemin que nous avons parcouru ?
Nous, à Trop de Bruit, sans verser dans un optimisme béat, nous pensons que nous avons bien avancé.

Un des objectifs que nous avions était la reconnaissance, pour le Brabant wallon, des nuisances aériennes liées à Zaventem. Il ne fait plus de doute pour personne que le problème existe. Naguère, des élus locaux le niaient encore. Ils en parlent maintenant spontanément et en mesurent toute l'acuité.  Ils n'ignorent plus maintenant que sans vigilance, leur commune est et pourra être la victime du développement de l'aéroport.
Notre participation à des rencontres au parlement fédéral (par ex. à la commission de l'infrastructure), à des groupes de travail ou des conférences organisés par diverses instances, nous ont permis de faire comprendre les enjeux du dossier pour le Brabant wallon à tous nos représentants, à quelque niveau de pouvoir que ce soit.
Le travail de nos correspondants locaux nous a permis et nous permettra encore plus dans l'avenir de suivre l'actualité dans chaque entité et de dialoguer avec les autorités locales.
Les réseaux entre les différentes associations flamandes, bruxelloises et wallonne ont été profitables.  Ils ont permis la mise en commun de nos connaissances pour faire progresser le dossier. Cela démontre la qualité de ces réseaux citoyens qui, sans nier les difficultés rencontrées, transcendent les frontières régionales et linguistique.
 
Si certains de nos représentants n'ont pas encore fait grand-chose, d'autres ont déjà agi pour faire avancer le dossier.  Signalons que quelques collèges communaux (1) , à peine mis au travail, ont déjà pris différentes initiatives dont nous verrons, nous l'espérons, les premiers effets en début d'année prochaine.
A la Région wallonne, très importante aussi est la prise de position du ministre wallon des Aéroports, André Antoine qui se dit prêt à nous consulter pour le tracé des routes à venir et s'inquiète, avec nous, de l'accessibilité au futur Institut de Gestion des Nuisances Sonores pour les citoyens wallons.(2)
Il s'agit de premiers pas dans la défense des citoyens de notre province.  Mais cette démarche ne doit pas, ne peut pas rester solitaire. Seul un travail d'équipe, tous pouvoirs et tendances confondus, permettra de résoudre la situation difficile que nous connaissons et de prévenir l'intolérable que nous prépare l'avenir : plus de trafic et plus de survols au-dessus du Brabant wallon. Même si, par miracle diront certains, le plan (provisoire sic) de dispersion devait être annulé, il sera nécessaire de rester vigilant.

Nous, à Trop de Bruit, comité, webmasters, groupes locaux, nous allons le rester, vigilants et certainement, en cette année électorale. Et si de belles promesses sont toujours agréables à entendre, des actes concrets sont les meilleurs arguments à avancer aux citoyens.

N'attendons pas pour avancer. Il est temps après mille jours d'un plan inique.

Et comme la période s'y prête, acceptez nos meilleurs vœux. Que 2007 soit l'année où les décisions du Conseil d'État, de la Cour de cassation seront respectées et où notre environnement ne pourra plus être vendu à une société dont les actionnaires sont installés aux Bermudes. (3)

Le Comité de Trop de Bruit en Brabant wallon.

(1) Poursuivant parfois ce qui avait été fait précédemment.
(2)Voir http://tropdebruit.googlepages.com/fd1017_TBBW.pdf, publié également sur le site du ministre
(3) http://tropdebruit.joueb.com/news/1796.shtml

Selon l'institut britannique IPPR (Institute for Public Policy Research), une proposition présentée par la Commission européenne cette semaine, dont l'objectif est de réduire les émissions de CO2 produites par le secteur aérien, pourrait augmenter de 4 milliards d'euros les profits des compagnies aériennes.

Je n'étais pas à la représention de ce grand guignol médiatique. Pendant que la Begique vacillait virtuellement, je participais à la mise en selle (pas en scène) d'un groupe citoyen dans une commune du Brabant wallon. Je n'en ai donc vu que des extraits le lendemain… mais j'ai lu de nombreux articles dans la presse et consulté des blogs,…

Les commerces implantés sur l'ancienne décharge de Basse-Wavre doivent évacuer pour des raisons de sécurité. Un risque d'explosion de biogaz est latent.

La saga qui oppose promoteurs de Liège Airport et riverains des pistes se poursuit. Et va faire un (petit ?) détour par la cour européenne de justice à Luxembourg.

En Amérique latine, la culture intensive du soja affecte l'environnement et les conditions de vie des communautés locales, condamnées à l'expulsion pour laisser leurs terres à cette culture industrielle, devenue un véritable emblème des dérives de l'agro-business. Le CCFD continue, au sein d'un réseau international d'ONG, à mobiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur le développement d'un mode agricole rejeté par les producteurs locaux.